L’objet de cette étude concerne 105 patients, souffrant de symptômes cliniques de la maladie de Lyme, lesquels se sont présentés à notre cabinet médical de 1998 à 2008.
Ce qui est intéressant dans cette étude, c’est que ces 105 patients avaient préalablement subi un traitement par antibiotiques de plusieurs semaines avant de me consulter et, malgré ces traitements initiaux, nous avons pu prouver qu’ils étaient encore porteurs de l’agent pathogène de la borréliose. A noter que 90 de ces patients ont été traités dans mon cabinet.
Pour mettre le microbe en présence directe, nous avons utilisé trois méthodes différentes de recherche, en prélevant des biopsies soit sur l’érythème de la peau, soit sur des plaques acrodermatiques ou sur des liquides séreux provenant de ponctions articulaires.
La première méthode:
Recherche de l’ADN par la méthode PCR (réaction en chaîne par polymérase).
La deuxième méthode:
Culture en laboratoire (avec pour but de déceler l’agent pathogène).
et la troisième méthode:
Histologie faite par la méthode de l’immunofluorescence microscopique.
En plus de ces trois méthodes directes, nous avons fait faire en pathologie des analyses de tissus prélevés, en vue de mettre en évidence histologiquement un érythème migrant ou une acrodermatite atrophicante.
Evidement chaque patient a été soumis parallèlement à une analyse sérologique en vue de détecter des anticorps contre la borréliose.
A noter que des études comparable ont été faites par Chmielewski et al (6) et Phillips et al (45) – se référer à la publication en annexe.
Cette étude rétrospective prend en compte:
- La symptomatologie du patient,
- les résultats de laboratoire (méthodes directes et sérologiques)
- les médicaments antibiotiques administrés,
- la durée du traitment,
- et enfin, le bilan de santé.
En ce qui concerne la thérapie de la borréliose, il n’y a actuellement toujours pas de schémas standardisés satisfaisants (voire “thérapie” page 7).
L’objet de cette étude a eu pour but d’examiner l’effet des cycles répétés de thérapies par antibiotiques, sur des patients déjà traités préalablement.
Les patients faisant partie de cette étude étaient atteints de borréliose au moins depuis une année, au maximum depuis quarante ans, ce qui donne une durée moyenne de maladie de neuf ans et demi.
Inhaltsverzeichnis
- Zusammenfassung
- Contenu
- Liste des illustrations
- Liste des tableaux
- 1 Durée de la maladie avant la première consultation
- 2 Symptomatologie
- 3 Examens sérologiques
- 4 Comparaison des résultats
- 5 Thérapie
- 6 Résultats des traitements
- Bibliographie
- Disclaimer
Zielsetzung und Themenschwerpunkte
Die Studie befasst sich mit 105 Patienten, die zwischen 1998 und 2008 Symptome einer Lyme-Borreliose zeigten und zuvor eine antibiotische Therapie erhalten hatten. Die Studie untersucht, ob trotz vorheriger Behandlungen der Erreger noch nachweisbar war und welche Auswirkungen wiederholte Antibiotika-Therapien auf den Krankheitsverlauf hatten.
- Nachweis der Persistenz des Borrelien-Erregers trotz voriger Antibiotika-Therapie
- Analyse der Auswirkungen von wiederholten Antibiotika-Therapien bei chronischer Lyme-Borreliose
- Bewertung der Sensitivität verschiedener diagnostischer Methoden (PCR, Kultur, Immunfluoreszenz)
- Untersuchung des Zusammenhangs zwischen klinischer Symptomatik und serologischen Ergebnissen
- Analyse der Wirksamkeit unterschiedlicher Antibiotika-Therapien und Therapie-Strategien
Zusammenfassung der Kapitel
- 1. Dauer der Krankheit vor der ersten Konsultation: Das Kapitel beschreibt die Dauer der Lyme-Borreliose bei den 105 Patienten vor dem Beginn der ersten Antibiotika-Therapie.
- 2. Symptomatologie: Dieses Kapitel listet die häufigsten Symptome auf, die bei den Patienten beobachtet wurden, einschließlich Skelett- und Muskelschmerzen, neurologische Symptome, Müdigkeit, gastrointestinale Beschwerden, Augenprobleme, Herzprobleme, Erythema migrans, Morphea oder chronisch atrophische Akrodermatitis, Bluthochdruck, Schilddrüsenfunktionsstörungen und erhöhte Leberenzyme.
- 3. Serologische Untersuchungen: Das Kapitel befasst sich mit den Ergebnissen der serologischen Tests. Es wird festgestellt, dass bei nur 55% der Patienten Antikörper gegen Lyme-Borreliose nachweisbar waren, obwohl der Erreger bei allen Patienten nachgewiesen wurde. Die Ergebnisse des Westernblot-Tests werden mit denen des ELISA-Tests verglichen.
- 4. Vergleich der Ergebnisse: Dieses Kapitel stellt die Ergebnisse verschiedener diagnostischer Methoden (Immunfluoreszenz, PCR, Kultur, Histologie) für 10 Patienten gegenüber. Es zeigt, dass die Ergebnisse der serologischen Tests nicht immer verlässlich sind und der Nachweis des Erregers mit verschiedenen Methoden wichtig ist.
- 5. Therapie: Das Kapitel beschreibt die individuell angepasste Therapie der Patienten, die mit unterschiedlichen Antibiotika in verschiedenen Dosierungen und über unterschiedliche Zeiträume durchgeführt wurde. Es werden auch zusätzliche Untersuchungen bei Patienten mit ungenügenden Behandlungserfolgen erwähnt, um mögliche Koinfektionen auszuschließen.
Schlüsselwörter
Die wichtigsten Schlüsselbegriffe der Studie sind Lyme-Borreliose, Borrelien-Erreger, chronische Lyme-Borreliose, Antibiotika-Therapie, Persistenz, diagnostische Methoden, PCR, Kultur, Immunfluoreszenz, Serologie, Symptomatik, Therapie-Strategien, Koinfektionen.
- Arbeit zitieren
- Wolfgang Klemann (Autor:in), Dr. med. Bernt-Dieter Huismans (Autor:in), 2014, Etude rétrospective sur la maladie de Lyme, München, GRIN Verlag, https://www.hausarbeiten.de/document/279155